mardi 25 février 2014

Du trou de hobbit à la Moria des Nains, Le monde souterrain vu par J.R.R. TOLKIEN : Partie 2, Erebor

Passons sur les cavernes de trolls, endroit sale et puant (et très mal fréquenté) pour nous rendre directement à Erebor, le royaume sous la montagne. Creuser par les nains (créature ressemblant à des nains de jardin en plus trapus, plus cuirassés et plus armés de haches ou marteaux) sous un montagne isolé (d'où son nom de montagne solitaire), le royaume de Erebor est sans doute le plus bel exemple de leur don de mineur.



vendredi 21 février 2014

Subterra débarque sur facebook



Pour ceux qui souhaitent commenter leur sortie en notre compagnie, nous avons créé une page facebook. Les plus beaux et les plus belles
 Vous y découvrirez aussi pleins d'autres informations sur notre passion.

la LGV à Préaux


Visite géologique avec notre guide accrédité sur le chantier LGV près de Chémeré le roi-Préaux avec une super météo

mardi 4 février 2014

la grotte "rené-paul"

nous faisons nos initiations souterraines dans la grotte "rené-paul", prenom des deux inventeurs. c'est une cavité qui fait 800m de developpement et est tres concretionnée. elle est tres seche en été et tres humide en hiver. voici quelquesphotos faites lors d'une sortie commune avec nos collegues du "Speleo Club de Blois.

dimanche 2 février 2014

Du trou de hobbit à la Moria des Nains, Le monde souterrain vu par J.R.R. TOLKIEN : Partie 1, le trou de hobbit

A non seigneur, tout honneur en commencent par le plus connu même si c'est celui qui se rapproche le moins de nos activités spéléologiques. En effet, un trou de Hobbit ressemble beaucoup à une maison troglodytique de luxe.
La description en est même l'introduction du premier livre de J.R.R. TOLKIEN : Bilbo le hobbit.
"Dans un trou vivait un hobbit. Ce n'était pas un trou déplaisant, sale et humide, rempli de bouts de vers et d'une atmosphère suintante, non plus qu'un trou sec, nu, sablonneux, sans rien pour s'asseoir ni sur quoi manger : c'était un trou de hobbit, ce qui implique le confort.


Il avait une porte tout à fait ronde comme un hublot, peinte en vert, avec un bouton de cuivre jaune bien brillant, exactement au centre. Cette porte ouvrait sur un vestibule en forme de tube, comme un tunnel : un tunnel très confortable, sans fumée, aux murs lambrissés, au sol dallé et 
 garni de tapis; il était meublé de chaises cirées et de quantité de patères pour les chapeaux et les manteaux - le hobbit aimait les visites. Le tunnel s'enfonçait assez loin, mais pas tout à fait en droite ligne, dans le flanc de la colline - la colline, comme tout le monde l'appelait à des lieues alentour - et l'on y voyait maintes petites portes rondes, d'abord d'un coté, puis sur un autre. Le hobbit n'avait pas d'étages à grimper : chambres, salles de bains, caves, réserves (celles-ci nombreuses), penderies (il avait des pièces entières consacrés aux vêtements), cuisine, salles à manger, tout était de plain pied, et, en fait, dans le même couloir. Les meilleurs chambres se trouvaient toutes sur la gauche (en entrant), car elles étaient les seules à avoir des fenêtres, des fenêtres circulaires et profondes, donnant sur le jardin et les prairies qui descendaient au-delà jusqu'à la rivière."